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#### Structure globale (8 minutes de voyage)
**00:00 – Intro (0:00 → 1:20)**
Un pad organique très chaud (synthé type Prophet ou OB-6 passé dans une reverb longue et brillante) joue une simple quinte La–Mi qui respire lentement.
En dessous, un kick très rond, presque analogique Moog, frappe doucement sur les temps 1 et 3, comme un cœur qui se réveille.
Des hi-hats légers, légèrement swingés (16e triplet feel), ouverts juste assez pour laisser passer la lumière.
On entend des bruissements de feuilles et des souffles lointains (field recording filtré haut), comme si on marchait pieds nus dans une clairière au lever du soleil.
**01:20 – Premier groove (entrée en transe)**
Entrée d’une basse profonde et moelleuse, ronde comme un Rhodes basse, qui joue un motif syncopé :
La – Do – Ré# – Ré – Do – La (avec un petit slide sur le Ré# qui donne ce goût légèrement arabe).
Un clavier marimba cristallin (type UVI Augmented Mallets ou marimba électrique) pose une petite ligne mélodique répétitive, presque enfantine, en doubles croches légères :
La – Si – Do – Ré – Mi – Ré – Do – Si… hypnotique, elle tourne en boucle et ne veut plus partir.
**02:00 – Premiers vocals éthérés**
Des vocalises féminines filtrées en formant (band-pass doux), presque chuchotées : « aaah… ooooh… haaa… » posées très haut dans le spectre, avec un delay 1/8 dotted qui crée des traînées de lumière.
Elles ne forment pas de mots, juste des syllabes solaires qui semblent venir d’un autre monde.
**02:40 – Build subtil**
On ajoute des claps en couche, très résonnants (reverb plate longue), placés sur les 2 et 4 avec un léger ghost snare derrière.
Le kick commence à doubler doucement sur le « e » du 4e temps.
Un riser organique (bruit blanc filtré qui monte lentement + un bend de guitare acoustique frottée à l’archet) fait monter la tension sans jamais être agressif.
**03:20 – Premier drop (pas un drop EDM brutal, un « bloom »)**
Tout s’ouvre :
- Le pad passe d’un accord mineur à un La majeur 9 lumineux (La – Do# – Mi – Sol# – Si)
- La basse descend d’une octave et devient plus pulsante, presque dubby
- Une guitare acoustique (accordée en open tuning DADGAD) entre avec des arpèges légers et groovy, joués aux doigts, très percussifs
- Le marimba double sa ligne mais en octaves plus hautes, scintillant comme des gouttes d’eau au soleil
- Les hi-hats s’ouvrent complètement, swing à 25 %, le groove devient ondulant, presque afro-house organique
**04:20 – Cœur dansant**
On est au milieu du dancefloor. Le corps bouge tout seul.
Un petit motif de piano électrique (Fender Rhodes avec un peu de phaser doux) vient répondre au marimba, comme une conversation joyeuse.
Des stutters très légers (1/32 glitch) sur les vocalises, juste assez pour créer des étincelles sans casser le flow.
**05:30 – Break mystique**
Tout tombe d’un coup sauf le pad et un kick très sourd.
On entend des oiseaux tropicaux, un souffle de vent, des cloches tubulaires lointaines.
Les vocalises reviennent, plus proches, presque ASMR, comme si quelqu’un chuchotait à ton oreille « let go… ».
Puis un glissando ascendant de synthé cristal (Serum ou Prism) fait monter la lumière.
**06:00 – Deuxième bloom (l’extase douce)**
Retour du groove, mais enrichi :
- Une seconde ligne de basse plus haute (synthé clavinet-like) joue des contre-mélodies funky
- Des congas et bongos légers (live, pas trop quantifiés) ajoutent de la vie organique
- Le motif de marimba se transforme en une mélodie plus large, presque anthemique, mais toujours douce
- Des harmonies vocales en couches (style Bon Iver meets ODESZA) chantent un « oh-oh-oh » lumineux
**07:00 – Dernière montée**
Automation progressive : filtre qui s’ouvre sur toute la piste, sidechain plus prononcé, couches de white noise qui montent comme une vague de chaleur.
Petits fills de toms mélodiques (accordés sur la tonalité) pour annoncer la libération finale.
**07:30 – Outro lumineux**
Explosion douce : tout reste, mais le pad devient énorme, presque orchestral.
La basse fait un dernier slide descendant langoureux.
Les vocalises s’élèvent en spirale, delay et reverb à l’infini.
Le kick s’espace, puis disparaît…
Reste seulement le marimba qui joue les dernières notes comme des gouttes qui tombent dans une mare infinie.
Fade out sur le souffle du vent et un dernier « haaa… » qui s’envole.
Ambiance finale
C’est le morceau que tu mets à 5h47 du matin dans un festival en plein désert ou dans une clairière en forêt : tout le monde a les yeux fermés ou grands ouverts vers le ciel, les bras levés, un sourire béat, les corps encore en mouvement mais déjà ailleurs.
Une trance joyeuse, chaleureuse, organique et profondément électronique à la fois.
Prêt à être dansé pieds nus, le cœur grand ouvert. ?